Il y a quelques années on avait parlé de k-beauty car Sephora avait commencé à vendre des cosmétiques d’origine coréenne. Aujourd’hui j’aimerais vous parler de j-beauty, c’est à dire la cosmétique d’origine japonaise. J’ai testé plusieurs marques dont certaines implantées en France et déjà vendues chez Sephora, et je vais vous donner mon avis. Qu’est-ce qui est différent entre la cosmétique japonaise et la cosmétique française? et quelle est la différence entre la k-beauty et la j-beauty? Je vous partage mon expérience.
Sommaire
- K-Beauty versus J-Beauty : une culture asiatique très beauty-addict
- Quelles sont les marques de cosmétiques japonais vendues en France ?
- Hada Labo : la référence best seller mais hyper dure à acheter en France
- B-Glen : présentation et avis
- V10 Plus : les sérums aux ingrédients actifs et le peeling sans grain
- DHC : le spécialiste de l’huile démaquillante
- Kosé : présentation et avis
- Shiseido : la marque japonaise qui date de 1872
- Shu Uemura : la cousine de Shiseido ?
- Le baume de soin corps Bijin au Getto rajeunissant
- L’eau de Ki : une lotion fermentée dispo chez BIJO
- Conclusion
K-Beauty versus J-Beauty : une culture asiatique très beauty-addict
Les Japonaises sont réputées pour être aussi coquettes que les coréennes : elles prennent énormément soin de leur peau mais il semblerait qu’elles utilisent moins le maquillage et moins la chirurgie esthétique que leurs voisines coréennes. Du coup, on retrouve des concepts en commun tel que le principe du layering asiatique, qui consiste à faire un double nettoyage (démaquillant huileux puis nettoyant), avant d’enchainer sur lotion, sérum et crème a minima.
On retrouve aussi l’amour des formules efficaces avec des principes actifs, mais je trouve une différence fondamentale dans la façon de concevoir les produits. En effet, j’ai l’impression que les cosmétiques japonais se concentrent davantage sur la nutrition, alors que les coréens ont tendance à préférer des formules très légères qui se focalisent plus sur l’hydratation. D’ailleurs vous verrez que beaucoup des marques présentées ici n’ont pas convenues à ma peau grasse pour cette raison.
Aussi, de mon expérience, je note que les cosmétiques de J-Beauty sont plus tournés vers le côté traditionnel. Vous le verrez notamment avec L’Eau De Ki dont je parle en dernier dans cet article. Au contraire la K-Beauty est un mélange entre cosmétiques utilisant des ingrédients traditionnels de pharmacopée asiatique, et innovations en terme de beauty devices, packagings, textures, ingrédients actifs…
Bien sûr, tout ceci ne reflète que mon avis et mon expérience. Si vous avez aussi eu l’occasion de tester les deux univers de beauté asiatique, n’hésitez pas à laisser un commentaire, j’adore échanger avec vous!
Quelles sont les marques de cosmétiques japonais vendues en France ?
Maintenant que je vous ai présenté ce qui forge pour moi les grandes différences entre cosmétiques japonais et coréens, je vous propose de faire un tour d’horizon des marques japonaises qui sont vendues en France.
Hada Labo : la référence best seller mais hyper dure à acheter en France
Avec sa lotion pour le visage lancée en 2004, Hada Labo est LA référence J-Beauty en France. On a tous entendu parler au moins une fois de la fameuse lotion « Gokujyun » ultra hydratante. Depuis, la marque a élargi sa gamme à plus de 60 produits différents qui promettent des soins de la peau très efficaces.
Il me semble que depuis la marque s’est renommée et s’appelle exactement Rohto Hada Labo (Hada Labo signifiant en japponais « laboratoire de la peau »). Mais la lotion est toujours aussi appréciée, même si on la trouve difficilement. A ma connaissance, il n’y a pas de e-shop français qui la distribue pour le moment, et il faut passer par des boutiques basées à l’étranger.
Où l’acheter?
- Yesstyle (profitez de réductions supplémentaire avec mon code de parrainage CHOKOMAG)
- amazon
- e-shop Harajuku Culture Japan
B-Glen : présentation et avis
Arrivée en France assez récemment, b.glen, parfois appelée B Glen Laboratory, est une marque japonaise qui est vendue principalement par correspondance car la marque fonctionne par le bouche-à-oreille. Il paraît qu’au Japon BGlen est extrêmement connue car les produits sont très efficaces et très réputés. De ce que j’ai compris, au japon c’est un peu le « tupperware des années 80 en France », autant sur le mode de vente que sur la réputation.
Il faut dire que la marque est très pointue: elle a inventé l’actif QuSome, un vecteur qui transporte les principes actifs plus profondément dans la peau. A priori, ce genre de vecteur existe déjà mais en Europe on est plutôt habitué à la taille « macro » (quand les marques en utilisent, ce qui n’est pas toujours le cas), alors que l’innovation B.Glen est d’avoir réussi à créer ce vecteur en taille nano pour que ça aille encore plus loin dans l’épiderme pour encore plus d’efficacité. Forcément, c’est le genre d’hypothèse scientifique qui me donne envie de tester, mais vous verrez que sur peau grasse, je n’ai pas forcément été convaincue par tous les produits.
La marque propose une gamme courte, qui couvre le layering traditionnel du Japon:
- un démaquillant: QuSome NanoOff Cleansing
- un nettoyant: Clay Wash
- une lotion: QuSome Lotion
- 3 types de sérums: QuSome Lift, C serum et QuSome Retino A
- un contour des yeux : Total Repair Eye Serum
- 2 galéniques de crèmes: QuSome Moisture Gel Cream, et QuSome Moisture Rich Cream
- un primer de maquillage teinté Nudy Veil (une seule teinte claire)
J’ai reçu une routine complète de la part de la marque et je l’ai testée sur plusieurs mois.
Mon avis sur le nettoyant B.Glen Clay Wash
Le nettoyant Clay Wash est un nettoyant à base d’argile ultra fine, sous forme de crème. Le résultat est un produit qui mousse très peu mais qui nettoie très bien la peau sans l’agresser. On retrouve un peu l’effet des nettoyants au rhassoul du maghreb, c’est à dire que la peau est ultra purifiée, presque crissante après usage. J’aime beaucoup l’utiliser deux ou trois fois par semaine, mais pas forcément tous les jours. Par contre un des points négatifs de ce produit est qu’il a une date de péremption courte, je crois qu’il faut l’utiliser dans les 6 mois après ouverture car il a très peu de convervateurs dans sa formule.
ingrédients du clay wash: AQUA, BENTONITE, ETHYLHEXYL ISONONANOATE, SORBITOL, BUTYLENE GLYCOL, SODIUM COCOYL GLUTAMATE, PENTYLENE GLYCOL, TEA-COCOYL GLUTAMATE, UREA, SQUALANE, SODIUM HYALURONATE, DIPOTASSIUM GLYCYRRHIZATE, ALOE BARBADENSIS LEAF EXTRACT, CHAMOMILLA RECUTITA (MATRICARIA) EXTRACT, PUERARIA THUNBERGIANA ROOT EXTRACT, CHLORELLA VULGARIS EXTRACT, CAPRYLOYL GLYCINE, ETHYLHEXYLGLYCERIN, QUATERNIUM-73, DISODIUM EDTA, PHENOXYETHANOL
Il vaut 45€, qui est je trouve un peu trop cher pour un nettoyant. Même si je le trouve très agréable, pour moi un nettoyant n’est pas aussi important qu’un sérum ou une crème car le temps de contact avec la peau est très limité. Je mets rarement au dessus de 20/30€ pour un bon nettoyant, aussi sensoriel soit-il.
Mon avis sur la lotion QuSome Lotion
En 2eme étape, la marque recommande d’utiliser sa lotion pour hydrater et préparer la peau à recevoir les soins suivants. Elle contient le fameux actif QuSome qui permet de faire pénétrer plus profondément les ingrédients actifs.
Au niveau de la formule c’est une base aqueuse un peu grasse/gélifiée. Comme j’ai la peau déshydratée, si je met la bonne dose, ça me donne une peau repulpée, confortable, hydratée… mais si j’en met trop je trouve que c’est un peu gras. Je trouve la formulation intéressante car elle contient des peptides, un dérivé de vitamine C, et divers ingrédients pour un effet anti-âge 360°. Mais bon elle coûte quand même 49€ la lotion, si on remet au niveau rapport qualité/prix, c’est difficile de savoir si une telle lotion change vraiment la donne dans une routine. Encore une fois, je connais d’autres lotions aussi agréables et qui me font aussi une jolie peau mais pour 25€ maximum.
ingrédients lotion: AQUA, PROPANEDIOL, BUTYLENE GLYCOL, PEG-12 GLYCERYL DIMYRISTATE, PEG-23 GLYCERYL DISTEARATE, RAFFINOSE, SQUALANE, HEXACARBOXYMETHYL DIPEPTIDE-12, 3-LAURYLGLYCERYL ASCORBATE, 3-O-ETHYL ASCORBIC ACID, OLIGOPEPTIDE-24, PYRIDOXINE HCL, ALLANTOIN, GENTIANA LUTEA ROOT EXTRACT, SALICORNIA HERBACEA EXTRACT, FUCUS SERRATUS EXTRACT, CHOLESTEROL, GLYCERIN, ETHYLHEXYLGLYCERIN, LACTIC ACID, STEARAMIDOPROPYL DIMETHYLAMINE, PHENOXYETHANOL, DISODIUM EDTA, POTASSIUM SORBATE, TOCOPHEROL
Mon avis sur le sérum à la vitamine C, le C serum
Parmi les sérums de la marque, j’ai testé celui à la vitamine C. Il est sous forme huileuse, et la vitamine C est vraiment très active : on sent que ça chauffe à l’application. Il faut l’appliquer tous les jours pendant minimum une semaine avant de voir les premiers effets. Il a aussi tendance à légèrement s’oxyder et devenir jaune sur la peau. Si vous avez des pores très ouverts, il peut s’y loger et donner cet aspect jaune bronzé… C’est complètement temporaire et cela s’en va lorsque vous vous nettoyez le visage, mais je préfère prévenir.
ingrédients C serum: PROPYLENE GLYCOL, ASCORBIC ACID, LECITHIN, POLYACRYLAMIDE, AQUA, C13-14 ISOPARAFFIN, LAURETH-7, ASCORBYL PALMITATE, TOCOPHEROL
Il coûte 59€. Les bons sérums à la vitamine C sont souvent assez chers, mais celui de b.glen est je trouve vraiment haut de gamme en terme de prix. En même temps la composition est courte et c’est de la véritable vitamine C dans sa formule, pas un dérivé de vitamine C, donc c’est ce qui explique les effets si visibles sur certaines personnes, et la légère oxydation jaune que j’ai observée en fin de journée sur ma peau. Par contre un excellent point à noter: pour un produit qui contient de la véritable vitamine C, je trouve qu’il se conserve plutôt bien : j’ai un tube plus un échantillon ouverts depuis assez longtemps et ni l’odeur, ni la texture ni la couleur ont changé.
Personnellement, j’ai tendance à préférer les actifs vit.C sous forme aqueuse, car c’est plus agréable sur peau grasse. Celui de chez Geek And Gorgeous est extraordinaire mais il se périme extrêmement vite (en moins de 6 semaines)… Sinon, d’autres sérums à la vitamine C comme le sérum illuminateur typology sont aqueux et à contenance égale, moins chers que B.Glen.
Mon avis sur la crème B.Glen
La marque m’avait aussi offert un pot de leur crème qui vaut tout de même 75€. Je n’ai vraiment pas l’habitude de mettre ce prix dans un cosmétique A part Perlanesse où je n’explique pas cette sensation incroyable avec la crème Ishin au lait d’ânesse, et IOMA où j’avais adoré ma crème sur mesure, d’habitude je reste sur des tarifs beaucouuuuuup plus abordables.
Malheureusement la crème B.Glen n’était pas du tout adaptée à mon type de peau: elle est très riche et épaisse, du coup je pense qu’elle convient mieux aux peaux sèches ou matures.
Bref, vous l’aurez compris, même si j’ai adoré B.Glen sur le papier pour son côté ultra innovant, je ne suis pas hyper emballée lors du test. Le nettoyant à l’argile, le sérum Vit.C et le toner sont des produits qui conviennent à toutes les peaux et que j’ai plutôt bien aimés comme vous avez pu le lire, mais je les trouve tellement chers que je dois vous dire honnêtement que je ne les rachèterais pas.
V10 Plus : les sérums aux ingrédients actifs et le peeling sans grain
J’avais testé il y a hyper longtemps les sérums V10 Plus. Pour résumer, la marque est un précurseur sur le domaine des sérums orientés ingrédients actifs: elle est arrivée bien avant The Ordinary, bien avant Etat Pur, avant même que les consommateurs sachent ce qu’était du niacinamide et du zinc en France en gros…
La marque propose une large gamme de sérums, chacun représenté par un code couleur. Chaque formule est orientée autour d’ingrédients actifs précis: acide hyaluronique, peptides, vitamine A…
Je les avais bien aimé, il faudrait que je les reteste à l’occasion, mais il faut dire que leur prix n’est pas vraiment intéressant en France : environ 32€ pour seulement 10mL. Autant aux débuts de ChokoMag j’avais du mal à trouver ce genre de formule en France, autant aujourd’hui c’est plus facile de trouver des équivalents sur la plupart des refs (mais pas toutes).
Sinon, le peeling sans grain est vraiment top! Il permet vraiment d’exfolier en douceur, et c’est nettement mieux pour les peaux sensibles ou à imperfections. Son seul point négatif est qu’il est difficile de se le procurer, et parfois il est aussi vendu très cher, je l’avais vu à 70€ sur amazon. C’est pourquoi je le remplace dernièrement par le peeling Art Deco (vrai dupe pour 29€), et on m’a conseillé de tester celui de The Body Shop, encore moins cher pour une contenance plus importante. Affaire à suivre!
DHC : le spécialiste de l’huile démaquillante
J’ai déjà parlé de DHC dans mon article sur les meilleures huiles démaquillantes. Mon avis n’a pas changé au fil des années : DHC mérite vraiment d’intégrer ce classement car leur huile est redoutablement efficace, sans parfum, plutôt légère, et se rince facilement.
D’autres marques commencent à me plaire autant en France, mais DHC reste quand même parmi les meilleures.
Je crois que la marque propose d’autres produits, mais en France on connait principalement son huile démaquillante.
Kosé : présentation et avis
J’avais reçu des produits de la marque Kosé il y a très longtemps, et tout comme pour B.Glen, il y a des trucs que j’ai aimés, et d’autres « mouai bof » sur ma peau.
Pour commencer le rituel la marque recommande d’utiliser son toner malheureusement il contient de l’alcool et ma peau ne l’a pas très bien supporté je ne m’en suis pas rendu compte au début. C’est vraiment au bout de plusieurs semaines d’utilisation et l’apparition de petits boutons d’acné que j’ai réalisé que l’alcool favorisait leur apparition. En arrêtant le produit tout est revenu à la normale.
J’ai aussi testé la crème mais j’ai été très surprise par sa texture très épaisse qui n’a pas du tout convenu à ma peau grasse. Je préfère les textures plus légère qui me permette de me maquiller par-dessus. Même en crème de nuit je l’ai trouvée trop riche pour ma peau.
Pour le sérum, je ne l’ai pas trouvé mieux ni moins bien que mes sérums habituels français.
Bref, mis à part le nettoyant visage qui est bien crémeux et bien épais comme souvent avec les nettoyants asiatiques, je n’ai vraiment pas été convaincue par cette marque.
Shiseido : la marque japonaise qui date de 1872
A vrai dire, j’avais commencé à rédiger cet article en oubliant de parler de Shiseido. C’est que la marque est chez nous depuis tellement longtemps, qu’on en oublie qu’elle est d’origine japonaise ! Est-ce que vous le saviez?
Il faut dire que même si la marque existe depuis très longtemps (1872 ! ), je trouve qu’elle fait très peu parler d’elle comparée à des jeunes marques (non japonaises) comme The Ordinary, ou encore Typology. Mais pour autant, elle est toujours là, solide comme un roc, donc elle doit avoir sa clientèle ultra fidèle.
Shiseido veut dire « La Maison qui contribue à la qualité de la vie » en japonais et propose plusieurs lignes de soins cosmétiques et de solaires, dont les crèmes sont vendues aux alentours de 100€ le pot. J’avoue que ce n’est pas vraiment ma gamme de prix, je teste rarement des cosmétiques de luxe. Je ne saurais donc pas vous dire si Shiseido vaut le coup en terme de produits de beauté.
Bref il est très difficile pour moi de vous en parler car je connais très mal cette marque, et en plus elle ne me fait pas rêver car je ne comprends pas trop son positionnement et ses différences en France.
Shu Uemura : la cousine de Shiseido ?
Tout comme Shiseido, Shu Uemura est une marque implantée depuis hyper longtemps en France. Elle reste cependant relativement discrète…
Je sais que par moment elle a surfé sur la vague Kawaii en proposant des collections makeup un peu fun. J’ai d’ailleurs encore un rouge à lèvre orange que j’ai beaucoup porté pendant un temps. Mais je ne connais pas assez la marque pour vous en parler.
Le baume de soin corps Bijin au Getto rajeunissant
La marque Bijin m’a fait parvenir son baume corps inspiré des rituels d’Okinawa. J’ai trouvé cela original: une plante dont la traduction serait « Fleur de Paradis » issue de la pharmacopée japonaise, qui permettrait d’avoir des propriétés anti-âge.
J’ai vraiment aimé l’histoire autour de ce produit, et le fait qu’il s’agisse d’une plante ancienne, mais je n’ai pas du tout aimé l’usage. C’est un baume fondant comportant pas mal de poudre de riz pour laisser un fini toucher sec et velouté, sauf que sur ma peau, ça déshydrate plus que ça n’hydrate…
De plus, l’ajout de la fleur de getto séchée dans le pot est romantique, mais en réalité pas très pratique pour prélever du produit. Bref pour 39€ le baume corps, je suis restée sur ma faim.
L’eau de Ki : une lotion fermentée dispo chez BIJO
Le premier produit de JBeauty que j’avais testé est L’eau De Ki : une lotion infusée pendant plusieurs mois dans des tonneaux afin d’en faire une essence fermentée (ou un toner, je n’ai jamais été sûre de l’étape de layering pour ce produit). J’avais d’ailleurs rencontré le créateur à Paris car il cherchait à implanter sa marque en France.
Malheureusement ce produit est hors de prix car forcément quand on fait fermenter un produit de beauté pendant des mois c’est un délai de production beaucoup plus important que la majorité des produits de beauté créés en quelques secondes sur une chaîne de production. Cette essence est vendue plus de 120 € le flacon de 130mL et je crois que ça a été vraiment un frein sur le marché français qui n’a pas l’habitude de payer si cher pour un produit. Du coup le site français de la marque n’existe plus aujourd’hui mais il reste un unique distributeur à ma connaissance : BIJO.
Conclusion
En conclusion la cosmétique japonaise est vraiment très intéressante à regarder par contre comme pour toutes les marques de produits de beauté, il faut vraiment se renseigner avant de tester car tout ne convient pas à toutes les peaux. Comme dit en introduction, j’ai l’impression aussi qu’ils favorisent vraiment la nutrition, donc probablement que les peaux normales à très sèches y trouvent plus leur compte. Par contre de mon côté avec ma peau grasse, vous l’avez compris, ça ne m’emballe pas plus que ça… sauf pour quelques produits vraiment exceptionnels comme l’huile DHC, ou la lotion hada labo.